À quoi ressemble l’angélique ?

L’angélique des jardins ou grande angélique (litvora), le céleri sauvage ou simplement l’angélique (Angelica archangelica L.) sont tous éléments de la famille des ombellifères (Apiaceae), qui comprend la carotte, le fenouil et le cumin de Perse. Il est important de faire preuve de prudence jusqu’à ce que l’on soit certain de l’identification de l’espèce, car elle peut également ressembler à la berce de Sosnowski.

Elle présente un aspect unique et caractéristique, similaire aux espèces apparentées. La tige de l’angélique est creuse et presque nue, atteignant une hauteur de 1,5 à 2,5 mètres. Une inflorescence, un baldaquin fortement convexe avec des ombelles globulaires, termine la pousse à l’apex. Cependant, les composants souterrains de l’angélique, à savoir la racine et le rhizome, sont les principaux composants utilisés à des fins médicinales. L’intérieur de ces composants est blanc et spongieux, et ils sont brefs. Outre les préparations dérivées de la racine d’angélique, les graines et les parties souterraines de la plante peuvent être utilisées pour produire de l’huile essentielle.

Extrait de racine d’angélique

L’extrait de racine d’angélique provient d’une plante qui, selon la légende, proviendrait d’une espèce apportée sur Terre par l’archange Raphaël. Par conséquent, son nom latin est Angélique archangelica . Cet extrait est souvent utilisé dans des agents qui aident à combattre les flatulences et la sensation de satiété.

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Angélique – propriétés médicinales

La racine d’angélique possède un large éventail de propriétés médicinales et une composition chimique complexe. Elle est le plus souvent utilisée en raison de ses effets bénéfiques sur le système digestif. En plus de stimuler la sécrétion d’enzymes digestives, l’angélique augmente la sécrétion de liquide gastrique et de salive. Elle a également un effet relaxant sur les muscles lisses du tractus gastro-intestinal et des voies biliaires.

Contrairement à la canneberge, la plante ne provoque pas d’acidification de l’urine et a un effet détoxifiant grâce à ses propriétés diurétiques et antimicrobiennes, en plus de faciliter la digestion. Néanmoins, la plante influence également d’autres systèmes de l’organisme.

L’huile d’angélique présente des effets anti-inflammatoires et anti-rhumatismaux, ainsi que des propriétés anti-anxiété, sédatives, anticonvulsives et neuroprotectrices.

Outre ses applications internes, l’application sur l’épiderme d’huiles ou de cataplasmes contenant de l’extrait de racine d’angélique peut également s’avérer avantageuse. L’huile d’angélique présente des propriétés qui facilitent la cicatrisation des plaies et une activité antimicrobienne.

Angélique – applications

L’angélique est une plante couramment utilisée en médecine traditionnelle en raison de ses nombreuses propriétés médicinales. En cas de problèmes tels que :

• Indigestion, ballonnements, brûlures d’estomac
• Pas d’appétit
• Maladies de la démence
• États de tension nerveuse accrue, problèmes d’endormissement
• Infections des voies urinaires
• Douleurs articulaires, maladies rhumatismales.

Outre sa capacité à favoriser la guérison, l’angélique a de nombreuses autres applications. C’est une plante comestible qui est utilisée pour la préparation de conserves, la décoration de gâteaux et de tartes, et la production d’hydromels et de spiritueux (liqueurs et teintures). Les cosmétiques incorporent également des extraits d’angélique. L’huile est parfois utilisée dans la production de parfums en raison de son arôme musqué.

Angélique – effets secondaires

Malgré la croyance répandue selon laquelle les produits naturels sont très sûrs, ce n’est pas toujours le cas. C’est également le cas de l’angélique et de ses effets indésirables. Par exemple, les préparations de racines d’angélique peuvent posséder des propriétés photosensibilisantes, similaires à celles de la vitamine A ou du millepertuis. Cela signifie que l’épiderme peut être plus sensible aux coups de soleil et à la décoloration lorsque l’angélique est utilisée. Cette caractéristique résulte de la présence de substances biologiquement actives du groupe des furanocoumarines, qui possèdent à leur tour les propriétés médicinales de l’angélique.

Angélique – contre-indications

En raison de l’effet photosensibilisant susmentionné, l’utilisation de l’angélique est déconseillée aux personnes très sensibles aux rayons UV et qui prennent actuellement d’autres médicaments photoallergiques. En outre, les femmes enceintes devraient s’abstenir de l’utiliser, car elle est susceptible de provoquer un accouchement prématuré et d’induire des contractions utérines. D’autres contre-indications aux propriétés médicinales de l’angélique sont associées à son mécanisme d’action et comprennent la glomérulonéphrite, l’ulcère gastroduodénal, la gastro-entérite et un traitement anticoagulant en cours.

Où peut-on se procurer de l’angélique ?

La grande angélique était une plante strictement protégée jusqu’en 2014. Actuellement, elle fait l’objet d’une protection partielle. Par conséquent, la cueillette de l’angélique dans les sites naturels est limitée à des circonstances spécifiques et nécessite un permis. Néanmoins, cela n’empêche pas son application dans les thérapies maison. L’achat de racines d’angélique desséchées ou de produits préfabriqués dérivés de son extrait, comme l’extrait de racine d’angélique disponible à l’achat ici, est l’approche la plus simple. L’angélique est une plante résistante au gel qui peut être cultivée dans un jardin familial sans nécessiter de soins particuliers. Ses graines sont disponibles dans les magasins d’herboristerie et d’horticulture.

Littérature:

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Les origines de la phytothérapie en Afrique

La médecine traditionnelle africaine est un domaine très vaste qui prend en compte les aspects spirituels, sociaux et environnementaux en plus de la santé physique. Les praticiens, communément appelés herboristes ou guérisseurs traditionnels, possèdent des connaissances approfondies, transmises de génération en génération, sur la préparation, la prescription et l’application de divers remèdes à base de plantes.

Rooibos (Aspalathus linearis)

Application traditionnelle : Le rooibos, qui trouve ses racines dans les régions montagneuses d’Afrique du Sud, a toujours été une source d’alimentation fondamentale pour le peuple indigène des Khoisans. Il était communément admis que le thé préparé à partir des feuilles de cette plante pouvait guérir toute une série de maladies, y compris les allergies et les problèmes digestifs.

Application moderne : Aujourd’hui, le rooibos est réputé dans le monde entier, en raison de ses nombreuses propriétés antioxydantes et de sa saveur particulièrement agréable. Selon des études, cette plante pourrait avoir des effets bénéfiques sur le système cardiovasculaire et s’avérer prometteuse pour soulager certaines affections cutanées.

Gingembre africain (Siphonochilus aethiopicus)

Application traditionnelle : Le gingembre africain est un spécimen botanique qui jouit d’une grande estime dans diverses cultures africaines en raison de ses nombreux attributs thérapeutiques. Historiquement, il était utilisé pour traiter la grippe, la fièvre et les rhumatismes. Ses propriétés anti-inflammatoires notables en font un remède de choix pour une multitude de problèmes internes et externes.

Application moderne : La communauté scientifique a confirmé les applications traditionnelles du gingembre africain. Outre ses caractéristiques anti-inflammatoires, il présente un potentiel en tant que médicament contre les micro-organismes et les champignons. L’étude de ses composants est en cours afin d’évaluer leur potentiel d’intégration dans les produits pharmaceutiques modernes.

Armoise d’Afrique (Artemisia afra)

Application traditionnelle : L’Artemisia afra, appelée familièrement « absinthe africaine », est depuis longtemps un élément fondamental des remèdes traditionnels, en particulier dans la région de l’Afrique australe. Elle a même été utilisée dans le traitement du paludisme, des fièvres et des rhumes.

Application moderne : Les prouesses de la plante dans la lutte contre le paludisme ont attiré l’attention internationale. L’artémisinine, un composant clé du traitement de première ligne contre le paludisme, est un composé dérivé de l’Artemisia annua, une espèce étroitement apparentée. Les recherches scientifiques menées sur l’Artemisia afra suggèrent qu’elle pourrait également contenir des composés efficaces contre la maladie.

Beurre de karité (Vitellaria paradoxa)

Application traditionnelle : Le beurre de karité, qui provient des graines de l’arbre de karité, fait partie intégrante des régimes de beauté ouest-africains depuis de nombreuses générations. On pensait qu’il offrait une protection contre les conditions environnementales difficiles et qu’il hydratait l’épiderme.

Application moderne : Le beurre de karité a été adopté avec enthousiasme par l’industrie cosmétique internationale. Les attributs anti-inflammatoires et hydratants de cette substance ont été validés par des études scientifiques, ce qui explique qu’elle soit largement utilisée dans les crèmes et les baumes hydratants.

Beurre de Karité (Beurre de Karité)

Beurre de karité pur et sain à usage cosmétique. A Frais et composition originale, qui garantit une teneur élevée en vitamines A et E responsables de retarder le processus de vieillissement de la peau. Le beurre de karité de notre offre a la bonne odeur, la bonne couleur et la bonne texture car il n’est pas dilué avec d’autres huiles .

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Griffe du diable (Harpagophytum procumbens)

Application traditionnelle : La griffe du diable, ainsi nommée en raison de la forme particulière de ses fruits, est originaire du désert du Kalahari, en Afrique australe. Historiquement, ses tubercules étaient utilisés pour traiter les douleurs, en particulier les douleurs osseuses et articulaires.

Application moderne : De nos jours, les propriétés analgésiques et anti-inflammatoires supposées de la griffe du diable ont fait l’objet d’une attention considérable. L’utilisation d’essais cliniques pour traiter l’arthrose et les douleurs lombaires s’est révélée prometteuse.

Extrait de griffe du diable

L’extrait de griffe du diable a été utilisé pour la première fois par les Sud-Américains il y a plus de 2000 ans. Il était alors utilisé pour lutter contre les douleurs musculaires et articulaires. Actuellement, il est beaucoup plus utilisé en médecine naturelle.

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Moringa (Moringa oleifera)

Application traditionnelle : Horiganum Moringa, connu familièrement sous le nom « d’arbre à baguettes », a été historiquement incorporé dans les pratiques alimentaires et médicinales de nombreuses régions d’Afrique. On croyait que ses graines, ses gousses et ses feuilles donnaient de la vigueur et de la vitalité.

Application moderne : À l’heure actuelle, le Moringa est considéré comme un « superaliment ». Le profil nutritif abondant de cette substance, qui comprend des vitamines, des minéraux et des antioxydants, a été étayé par la recherche scientifique. L’intérêt pour ses propriétés supposées antidiabétiques et hypocholestérolémiantes augmente.

Extrait de Moringa

Extrait de moringa de haute qualité, fourni directement par le fabricant. Le produit contient de grandes quantités de vitamines A et C, ainsi que des protéines et du fer.

Le moringa, connu sous le nom de « arbre à longue vie » ou « arbre miracle », est considéré comme l’une des plantes les plus saines au monde.

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Huile de graines de Moringa

L’huile de graines de Moringa contient de l’acide oléique, des acides oméga – 3,6,9 et des vitamines E et A. Le moringa est un arbre qui pousse en Inde et en Europe n’est pas encore très connu. Il peut être utilisé sur la peau et les cheveux pour les hydrater et les régénérer.

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Le lien entre modernité et tradition

La convergence de la sagesse traditionnelles et de la recherche moderne offre un terrain fertile pour les progrès de l’industrie pharmaceutique. En étudiant et en respectant les connaissances des herboristes africains, nous sauvegardons l’héritage culturel et facilitons l’exploration de nouvelles perspectives thérapeutiques.

Conclusion

La grande diversité botanique que l’on trouve en Afrique témoigne de l’impact substantiel du continent sur la santé et le bien-être dans le monde. Compte tenu des recherches scientifiques en cours sur ces remèdes conventionnels, il est indéniable que la convergence de la recherche moderne et des connaissances primordiales a la capacité de transformer fondamentalement le domaine des soins de santé. Nous reconnaissons l’interdépendance inhérente qui existe entre le monde naturel et les êtres humains en commémorant l’importance historique de ces plantes.

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Qu’est-ce que c’est l’acide butyrique ?

L’acide butyrique (butyric acid) est un composé naturel appartenant aux acides gras à chaîne courte (AGCC), produit lors de la fermentation effectuées par les bactéries présentes dans le côlon – la section la plus longue et la plus importante du gros intestin. Avec l’acide acétique et l’acide propionique, l’acide butyrique représente environ 83 % des AGCC présents dans le gros intestin dans des proportions : 60 : 25 : 15 (acétate : propionate : butyrate).

Bien que, proportionnellement, l’acide butyrique soit celui qui contribue le moins à la concentration de tous les AGCC dans la lumière intestinale (oscillant entre 60 et 150 mmol/kg), il représente un carburant énergétique majeur pour les cellules épithéliales intestinales. En outre, depuis que les études sur le rôle et les propriétés de l’acide butyrique ont commencé dans les années 1980, de nouvelles possibilités d’utilisation ont été découvertes en médecine mais aussi dans la supplémentation alimentaire et dans la prévention des maladies, notamment des maladies au système digestif et pas que.

Acide butyrique ou butyrate de sodium ?

L’acide butyrique est un composé dont l’utilisation en tant que médicament ou complément pose certains problèmes. Tout d’abord l’acide butyrique dégage une odeur forte et désagréable, qui rappelle celle du beurre rance. De plus, il présente une faible stabilité chimique. Lorsque l’acide butyrique est administré par voie orale, il est rapidement absorbé et utilisé par l’épithélium du tractus gastro-intestinal supérieur, ce qui empêche la dose totale d’atteindre le gros intestin. Pour éviter ces problèmes, l’acide butyrique est souvent administré sous la forme du sel de sodium, le butyrate de sodium, qui se dissocie dans l’organisme en anion butyrate et en sodium. En outre, la substance active peut être protégée d’une absorption et d’une dégradation trop précoces en l’encapsulant dans des granules et des microtubules.

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Les propriétés de l’acide butyrique

La grande majorité de l’acide butyrique est utilisée là où il est produit en exerçant un effet bénéfique sur le l’épithélium intestinal. Cependant, les effets de l’acide butyrique sur l’intestin ne sont pas seulement liés à sa fonction énergétique, mais aussi à ses nombreux effets biologiques, améliorant la santé humaine. Au niveau intestinal, l’acide butyrique :

• Est utilisé comme une source d’énergie pour les colonocytes (cellules épithéliales intestinales)
• Est un composé ayant des effets nutritionnels, régénérateurs et cytoprotecteurs
• Renforce et scelle la barrière intestinale
• Présente un effet immunomodulateur
• Présente un effet anti-inflammatoire
• Présente un effet antioxydant
• Présente un effet bénéfique sur la motilité intestinale
• Présente un effet bénéfique sur la sensibilité viscérale
• Participe au transport transmembranaire de l’eau et du sodium

L’acide butyrique est donc la principale source d’énergie des cellules de l’épithélium colique, notamment il nourrit et favorise la cicatrisation de la muqueuse intestinale. Il protège les parois intestinales contre la pénétration des bactéries dans la circulation sanguine. Enfin, il présente des effets immunomodulateurs, anti-inflammatoires et antioxydants.

L’utilisation de l’acide butyrique

Les propriétés de l’acide butyrique sont utilisées cliniquement dans des pathologies telles que la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn, le syndrome du côlon irritable (SCI) et d’autres maladies inflammatoires et fonctionnelles de l’intestin. Il peut également être utilisé dans le traitement des troubles digestifs plus légères, notamment de la diarrhée, de la constipation, de l’indigestion, des flatulences, des douleurs abdominales. Il régule la fonction intestinale, améliore la motilité gastro-intestinale et protège lors de l’utilisation de stéroïdes à des fins médicales ou pour augmenter la masse musculaire. Il est important de noter que, contrairement aux remèdes maison populaires ayant pour but d’améliorer la digestion, l’acide butyrique peut également être utilisé en cas d’ulcère gastroduodénal. Il ne soulage pas seulement les symptômes, mais favorise également la régénération de l’épithélium.

L’acide butyrique n’est bénéfique pas seulement pour l’intestin

Bien que l’acide butyrique soit un composé qui agit principalement comme un anti-inflammatoire pour l’intestin, il peut aussi avoir des effets bénéfiques sur d’autres aspects de la santé. L’acide butyrique absorbée en petite quantité dans la circulation sanguine agit sur d’autres tissus et organes, à savoir :

• Il sensibilise les cellules à l’action de l’insuline
• Il agit comme un immunomodulateur
• Il favorise la neurogenèse et réduit le risque d’accident vasculaire cérébral
• Il stimule la production de leptine et stimule les mécanismes de régulation de l’appétit et de la satiété
• Il inhibe la lipolyse du tissu adipeux
• Il réduit le stockage des graisses dans le foie

De nombreuses propriétés de l’acide butyrique permettent d’envisager son utilisation comme un supplément non seulement à des fins médicales pour soulager les symptômes intestinaux et gastro-intestinaux désagréables mais aussi à des fins préventives comme un complexe vitaminé. La supplémentation en acide butyrique est particulièrement recommandée chez les personnes âgées (sa production diminue avec l’âge), en cas de maladies systémiques entraînant une cachexie progressive (cancer, maladies immunitaires et troubles immunitaires) et en cas de prise de médicaments immunosuppresseurs et stéroïdiens. Grâce à des effets parentéraux susmentionnés, l’acide butyrique peut être particulièrement bénéfique pour les personnes considérées comme présentant un risque de développer des maladies de civilisation, telles que l’obésité et la résistance à l’insuline.

Les principaux dangers et risques liés à l’utilisation de l’acide butyrique

Premièrement, l’acide butyrique présente une faible nocivité et sans risque pour l’organisme. Notamment, il n’entraine pas d’effets secondaires ou de réactions indésirables, et il peut être utilisé par tous les groupes d’âge sans contre-indications. Grâce à sa faible toxicité, il peut être inclus dans le régime alimentaire pour profiter de ses bienfaits. 300 mg d’acide butyrique (butyrate de sodium) par jour sont considérés comme une dose prophylactique avec une production moyenne de contenu gastro-intestinal de 3-4 l/jour. Il est recommandé de suivre le traitement pendant au moins trois mois afin d’obtenir des résultats satisfaisants.

Où trouve-t-on de l’acide butyrique ?

Comme nous l’avons déjà mentionné, l’acide butyrique est produit dans le corps humain principalement lors de la fermentation des sucres contenues dans les aliments par des bactéries présentes dans l’intestin. Il s’agit notamment de micro-organismes des genres Clostridium spp, Eubacterium spp, Fusobacterium spp, Butyrivibrio spp, Megasphaera elsdenii et Mitsuokella multiacida. Megasphaera elsdenii et Mitsuokella multiacida. Les principales sources d’hydrates de carbone non digestibles et d’oligomères d’hexose plus ou moins polymérisés utilisées par les bactéries sont les suivantes :

• Amidon résistant
• Avoine
• Son de blé
• Grains de céréales partiellement moulus
• Semences
• Légumes

De petites quantités d’acide butyrique sont également présentes dans des produits consommés quotidiennement : lait et produits laitiers, fromages à pâte dure, produits fermentés (choucroute, cornichons, soja etc.). Cependant, en raison de la faible stabilité chimique de ce composé et de sa faible teneur, ces produits ne jouent pas un rôle majeur sur l’épithélium intestinal humain.

Pour combler les carences en acide butyrique, il faut donc faire appel à des bactéries physiologiques ou à des compléments alimentaires disponibles sur le marché. Il est important de ne pas consommer l’acide butyrique liquide utilisé dans la fabrication des appâts de pêche qui se caractérise par une odeur très forte et désagréable.

Littérature:

1. Banasiewicz T, Borycka-Kiciak K, Dobrowolska-Zachwieja A i wsp. Kliniczne aspekty zastosowania kwasu masłowego w postępowaniu dietetycznym w chorobach jelit. Przegląd Gastroenterologiczny 2010; 5(6): 329-334.
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Qu’est-ce qu’un kumquat et à quel est son aspect ?

Le kumquat est une espèce de petit arbre ou de végétation originaire d’Asie orientale, plus précisément du sud de la Chine. En outre, le Japon, Taïwan, l’Inde et l’Asie du Sud-Est le cultivent depuis des siècles, mais son introduction en Europe (et par la suite en Amérique du Nord) n’a eu lieu qu’au milieu du XIXe siècle. Bien que le kumquat soit un membre de la famille des Rutaceae, il est classé dans son propre genre, Fortunella.

Les fruits du kumquat sont considérablement plus petits que les oranges, bien qu’ils partagent des caractéristiques similaires telles que la couleur, la forme et la texture de la peau. Leur longueur ne dépasse pas 4 cm et leur forme peut varier de ronde à ovale ou oblongue ; en termes de dimensions, ils sont donc plus comparables à de grosses olives ou à des tomates cerises. Le poids moyen d’un kumquat solitaire est de 12 grammes.

Quelles sont les caractéristiques du kumquat ?

Les fruits nationaux, en particulier les agrumes, sont souvent présentés comme une source riche en vitamines essentielles à un régime alimentaire équilibré. Nombre d’entre eux sont également associés à des propriétés médicinales ; par exemple, les feuilles de mûres sont utilisées pour traiter la gastro-entérite et les canneberges sont utilisées pour traiter la cystite. De même, les fruits exotiques ne sont pas uniques. Les vitamines sont abondantes dans le kumquat, en particulier la vitamine C. Cent grammes de ce fruit fournissent 2,7 à 8,5 % des besoins quotidiens en vitamines B et 11 % des besoins quotidiens en vitamine A, en plus de 55 % des besoins quotidiens en cette vitamine. En outre, il est riche en minéraux essentiels pour le fonctionnement de l’organisme. Ces minéraux comprennent le manganèse (Mn), le cuivre (Cu), le potassium (K), le calcium (Ca), le fer (Fe) et le potassium (Mn).

Outre leur valeur nutritionnelle substantielle, qui est encore renforcée par leur teneur élevée en fibres alimentaires, les fruits du kumquat comprennent une abondance de composés qui possèdent des attributs médicinaux. Il s’agit principalement de:

• L’huile essentielle – un mélange de terpènes qui présentent des effets antimicrobiens, anti-inflammatoires, analgésiques, diastoliques et antiarythmiques.
• Caroténoïdes – des pigments naturels qui servent de photoprotecteurs et d’antioxydants tout en diminuant le risque de développer certains cancers et maladies oculaires.
• Flavonoïdes (et autres polyphénols) – sont des composés qui possèdent de puissantes propriétés antioxydantes. Ces composés contribuent à la prévention de nombreuses maladies de civilisation et protègent l’organisme des effets néfastes du stress oxydatif.

Quelles sont les applications du kumquat ?

En plus de fournir des vitamines et des minéraux, le kumquat est un complément nutritif à tous les plats. La consommation de kumquat, grâce à sa composition chimique bénéfique pour la santé, contribue à atténuer les affections liées au mode de vie, notamment le diabète, l’hypertension, certaines tumeurs malignes et les maladies cardiovasculaires. Les résultats de la recherche indiquent en outre que les extraits de kumquat ont des effets bénéfiques sur la santé du foie et le profil lipidique. Plus précisément, ils augmentent le « bon » cholestérol HDL tout en diminuant le « mauvais » cholestérol LDL. En outre, ils protègent contre la progression de la cirrhose et améliorent les taux d’enzymes hépatiques, y compris l’AST et l’ALT.

L’intégration du kumquat dans le régime alimentaire permet non seulement de réguler la fonction hépatique, mais aussi d’atténuer les troubles gastro-intestinaux (indigestion, constipation et ballonnements). Associé à sa faible teneur en calories (100 g de fruits ne contiennent que 70 kcal), le kumquat peut être un complément efficace aux régimes amaigrissants.

L’activité antimicrobienne, la supplémentation des carences en fer, la stimulation de la production de globules rouges en cas d’anémie et les propriétés immunostimulantes et anti-inflammatoires attribuées à la teneur élevée en vitamines et en polyphénols du kumquat sont d’autres propriétés médicinales qui peuvent être utilisées dans ses applications potentielles.

Le kumquat dans les cosmétiques

Le kumquat, en raison de sa composition substantielle en nutriments et en antioxydants, est également remarquable dans le domaine de la cosmétologie. Des concentrations de cinq à dix pour cent d’extraits du fruit entier sont utilisées en cosmétique ; la pulpe et l’écorce du kumquat ont une composition et des propriétés similaires. Bien que l’huile essentielle isolée puisse servir d’ingrédient, les concentrations supérieures à 5 % ne doivent pas être appliquées par voie topique.

Le kumquat trouve des applications dans les déodorants, les toniques hydratants, les produits anti-âge, ainsi que dans les revitalisants pour les cheveux, les ongles et la peau. À l’instar des extraits d’ortie et de la prêle des champs, le kumquat présente des propriétés favorables dans les préparations capillaires. En plus de nourrir et d’hydrater, il inhibe la production de sébum et confère aux cheveux une souplesse et un rebond supplémentaires.

Comment consommer les kumquats ?

En ce qui concerne les fruits exotiques moins courants, leur consommation suscite une grande curiosité. Le kumquat peut susciter une réticence supplémentaire en raison de son aspect particulier. Il ressemble à l’orange, qui n’est consommée qu’après avoir été coupée en morceaux et dont la taille est nettement plus petite. Cela peut choquer, mais le kumquat, y compris la peau, doit être consommé entier. Bien qu’il soit parfois suggéré, le pré-blanchiment du produit à l’eau chaude n’est pas une nécessité absolue. Cependant, pour améliorer la douceur du fruit et faciliter la libération de l’huile essentielle parfumée, il est conseillé de l’écraser délicatement dans la main avant de le consommer. Pour apprécier pleinement sa saveur, il est conseillé de le mâcher plus longtemps dans la bouche.

Le kumquat est comestible sous différentes formes. Vous pouvez également trouver des kumquats confits, qui conservent leurs propriétés pendant une longue période malgré un transport et un stockage prolongés. En outre, les kumquats peuvent être utilisés pour fabriquer des confitures, des marmelades, des gelées, des sirops et des liquides. Dans certains cas, outre les boissons rafraîchissantes, il est également utilisé pour la production de liqueurs ; dans ce cas, l’efficacité de ses écorces est jugée supérieure à celle du fruit entier.

Quelle est la saveur du kumquat ?

En outre, la méconnaissance de la saveur du kumquat et des personnes qui l’accompagnent peut dissuader les gens de l’essayer pour la première fois. En raison de sa composition chimique complexe, le kumquat a une saveur particulière. Au départ, il est légèrement astringent et aigre, suivi d’une saveur sucrée qui gagne progressivement en intensité. Il est important de noter que cette saveur sucrée est attribuée à l’épiderme et non à la chair. Cette combinaison fait du kumquat un complément idéal non seulement aux salades de fruits et aux desserts sucrés, mais aussi aux préparations plus sèches à base de poissons et de viandes tendres.

Littérature:

1. Flis-Kaczykowska A I Dmowski P. Ocena wybranych wyróżników jakości owoców cytrusowych. ŻYWNOŚĆ. Nauka. Technologia. Jakość 2020; 27(2): 121-129.
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Quelles sont les autres propriétés de la canneberge ?

La canneberge, comme d’autres fruits rouges (framboises, mûres, fraises), se caractérisent par une teneur importante en flavonoïdes et en anthocyanes, des composés à forte activité antioxydante qui protègent les cellules contre le stress oxydatif et piège les radicaux libres, en réduisant ainsi le risque de maladies de civilisation telles que la résistance à l’insuline, l’hypertension, l’athérosclérose et le cancer.

Extrait de canneberge 5% PAC

L’extrait de canneberge 5% PAC est produit à partir du fruit du Vaccinium Macrocarpon L. Grâce à ses propriétés de santé et de soin, il est utilisé dans une large gamme d’applications, des compléments alimentaires aux produits pharmaceutiques en passant par les cosmétiques avancés.

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De plus, la canneberge est une source riche de nombreuses vitamines et minéraux (potassium, calcium, fer). Consommée sous forme séchée ou en jus, elle est très souvent utilisée dans la phytothérapie pour ses propriétés antimicrobiennes. Elle les doit à la présence de composés appelés proanthocyanidines, des dérivés de flavan-3-ol. Entre autres, elles empêchent l’adhésion des bactéries à l’épithélium des voies urinaires inférieures en abaissant le pH et en acidifiant l’urine, ce qui a un effet prophylactique et soutient l’antibiothérapie dans les infections des voies urinaires telles que les cystites. En outre, cette activité s’applique également à d’autres bactéries qui se développent dans le tractus gastro-intestinal, notamment dans l’estomac et la bouche.

Quels sont les bienfaits de la canneberge ?

Les canneberges incorporées dans l’alimentation quotidienne sont incroyablement efficaces pour la prévention des maladies liées au mode de vie grâce à leurs nombreuses propriétés et leur teneur en antioxydants. Les canneberges séchées démontrent des propriétés amincissantes mais améliore aussi le profil lipidique en baissant le taux de « mauvais cholestérol » (LDL) ce qui est extrêmement important dans la prévention de l’athérosclérose.

La canneberge, c’est surtout un moyen de lutter contre les infections bactériennes. Sous forme de jus ou de baies séchées, elle est connue pour ses propriétés préventives contre les infections urinaires, notamment son extrait utilisé dans des médicaments disponibles en vente libre est souvent recommandé en complément de l’antibiothérapie pendant le traitement des cystites récidivantes.

La canneberge possède également des vertus antibactériennes contribuant au traitement des ulcères gastriques associés à l’infection par H. pylori, dans la prévention des caries dentaires et même dans les premiers stades de l’arthrite rhumatismale.

Les bienfaits de la canneberge dans les cosmétiques

La canneberge est également utilisée dans les cosmétiques sous forme d’extrait ou de jus concentré. Riche en vitamines, en minéraux et en différents polyphénols, elle joue un rôle positif sur l’état de la peau, en favorisant la nourriture, l’hydratation et la régénération cellulaire. La canneberge entre donc dans la composition de nombreux produits cosmétiques pour la peau mature, acnéique, sèche mais aussi pour la peau présentant des taches pigmentaires ou ayant un important besoin de régénération. En outre, grâce à sa résistance aux antimicrobiens, elle peut également être utilisée à des fins thérapeutiques dans le traitement de certaines maladies de la peau.

Huile de pépins de canneberge

L’huile de pépins de canneberge est une huile végétale naturelle extraite des graines du fruit de la canneberge(Vaccinium macrocarpon).
Cette huile est riche en acides gras tels que les acides linoléique, oléique et palmitique, ce qui en fait un excellent émollient et hydratant pour la peau.

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La canneberge comme solution durant la grossesse

Les problèmes d’infections urinaires sont particulièrement fréquents chez les femmes, puisque 25 % d’entre elles en souffrent au moins une fois dans leur vie. Par ailleurs, certains médicaments sont contre-indiqués pendant la grossesse, et qu’en est-il de la consommation de canneberges ? Les canneberges séchées et sous forme de jus sont tout à fait sans danger pendant la grossesse et elles n’ont aucun effet néfaste sur le déroulement de la grossesse ou le développement du fœtus au cours des trois trimestres. Consommées quotidiennement, les canneberges présentent également de nombreux effets bénéfiques pour la santé. Outre la prévention des infections urinaires susmentionnée, les canneberges contribuent également au traitement des infections virales, améliorent l’absorption du fer et aident à lutter contre la constipation pendant la grossesse. Toutefois, il est important de savoir que les canneberges ne peuvent pas être utilisées comme substitut de traitements conventionnels et que toutes les maladies préoccupantes déclenchées durant la grossesse doivent faire l’objet d’une consultation médicale.

Les bienfaits de la canneberge pour les enfants

Comment introduire la canneberge dans l’alimentation des enfants ? En raison de l’inconfort possible du tube digestif et, en partie, du goût peu sucré et acidulé, les canneberges ne devraient pas être introduites dans l’alimentation des enfants avant l’âge d’un an. Riches en vitamines, votre enfant peut les consommer sous forme de jus ou comme compliment alimentaire. Les canneberges peuvent notamment être utiles pour traiter les rhumes et renforcer le système immunitaire de l’enfant. En revanche, les préparations à base de canneberge vendues en pharmacie pour le traitement des infections urinaires, sont surtout destinées aux enfants à partir de 3 ans.

Quelle quantité de canneberge par jour ?

La canneberge présente de nombreux bienfaits sur la santé, mais comme dans le cas des médicaments de synthèse, il est important de respecter la posologie recommandée pour bénéficier de tous ses vertus. Quelle quantité de canneberge sera efficace pour prévenir la cystite ? On estime que pour obtenir un effet, il est conseillé de consommer :

• 100-300 g de canneberges fraîches
• 7-10 g de canneberges séchées
• 100-150 ml de jus de canneberge (100%)

Selon vos besoins, vous pouvez donc inclure le jus de canneberge dans votre menu quotidien ou consommer comme plat d’accompagnement servi avec une viande, des plats salés mais aussi avec des flocons d’avoine sucrés et des gâteaux. Vous pouvez aussi les utiliser pour agrémenter vos salades et cocktails en associant des canneberges avec d’autres fruits riches en vitamines et bénéfiques pour la santé (bananes, agrumes, pommes). Il est important de garder à l’esprit que les canneberges fraîches sont relativement faibles en calories (pour 100 g de canneberge, on compte environ 46 kcal), mais leur teneur en calories peut augmenter de manière significative pendant du processus de séchage, soit jusqu’à 300 kcal/100 g.

Contre-indications de la canneberge

Les suppléments contenant de l’extrait de canneberge sont relativement sans danger et ils entrainent très peu d’effets secondaires. Toutefois, les canneberges et les produits à base de canneberges ne doivent pas être consommés lors de la prise d’anticoagulants (p.ex. avec la warfarine), car ils pourraient augmenter l’effet anticoagulant du médicament et causer des saignements excessifs et des hémorragies. Les personnes souffrant d’ostéoporose et de calculs rénaux devraient également éviter de consommer ce fruit. En effet, les oxalates présents dans les canneberges peuvent se cristalliser dans les voies urinaires en entraînant la formation et le développement de calculs rénaux et entraver l’absorption du calcium dans les intestins.

Il est également important de rappeler que le mécanisme d’action de la canneberge est basé sur l’acidification de l’urine lorsqu’elle est utilisée dans le traitement des infections urinaires. Cela signifie qu’elle peut interférer avec l’action d’autres plantes d’usage similaire. Notamment, les préparations contenant de l’arbutine (un composé présent p.ex. dans la feuille de busserole) ont un effet antimicrobien uniquement dans un environnement alcalin.

Littérature:

1. Baranowska M, Bartoszek A. Antyoksydacyjne i przeciwdrobnoustrojowe właściwości bioaktywnych fitozwiązków żurawiny. Postępy Higieny i Medycyny Doświadczalnej 2016; 70: 1460-1468.
2. Doroszko M, Janda K i Jakubczyk K. Właściwości prozdrowotne wybranych owoców krajowych. KOSMOS Problemy Nauk Biologicznych 2018; 67(2): 415-423.
3. Gryszczyńska A. Żurawina amerykańska (Vaccinium macrocarpon) – lek na problemy urologiczne. Urologia 2010; 63: 31-40.

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Marque cosmétique pas comme les autres

Le marché cosmétique est immense et très divers. De nos jours, il ne suffit plus d’élaborer une bonne recette pour sa propre ligne de produits cosmétiques : après tout, peu de gens décident d’acheter un produit en se basant uniquement sur sa composition.

La clé pour créer sa propre marque de produits cosmétiques est de définir ce qui la distingue, en quoi tes produits diffèrent-ils de ceux des autres fabricants de cosmétiques ? À qui s’adressent-ils et quels bénéfices un groupe de personnes donné peut-il tirer de leur utilisation ? Quelles idées te guident : tes produits cosmétiques sont-ils censés apporter d’excellents résultats ou as-tu également à cœur le bien de la planète ?

L’image d’une marque de cosmétique

Après avoir sélectionné le groupe cible et les idées qui guident ta marque, tu devrais envisager de concevoir une identification visuelle appropriée. Cela s’applique non seulement à la conception de l’étiquette et de l’emballage du produit cosmétique, mais également à la conception du logo, d’un site Web avec sa propre boutique en ligne et même à l’esthétique des publications sur les réseaux sociaux. Même si un dicton populaire dit qu’il ne faut pas juger un livre à sa couverture, l’identification visuelle détermine en grande partie si un client potentiel sera intéressé par ton offre.

Le minimalisme professionnel peut mettre en valeur la haute qualité et l’exclusivité de ta marque, mais pour les personnes plus jeunes et moins riches il peut être rebutant car il est associé à des prix de produits élevés. Le choix d’un logo ou d’un nom de marque trop neutre et peu original le rendra moins mémorable et donc difficile à attirer et à fidéliser les clients.

Également, en concevant des étiquettes et des emballages pour ses produits, il ne faut pas oublier qu’ils sont censés jouer un rôle non seulement marketing, mais aussi pratique. Il est important de prendre en compte pas seulement leur durabilité, mais également les besoins des produits cosmétiques fabriqués – protection contre l’humidité, le soleil, l’isolation thermique. Dans le cas d’une étiquette, il ne faut pas oublier la réglementation en vigueur : quelle que soit la façon dont tu imagines sa conception idéale, elle doit comporter un certain nombre d’informations requises par la loi.

Recette et composition de la propre marque de cosmétiques

Sa propre marque de cosmétiques, c’est aussi le développement des recettes uniques pour la fabrication de produits cosmétiques. ll ne faut pas seulement penser à établir les meilleures recettes possibles qui garantissent les propriétés uniques de tes produits. Il est également important d’utiliser des matières premières éprouvées et de haute qualité. Il vaut retenir que des ingrédients provenant de sources douteuses peuvent attirer avec un prix inférieur, mais leur utilisation implique le risque d’acheter des produits contrefaits, de mauvaise qualité, voire constituant une menace pour la santé ou la peau du client.

Vu les différences de teint et de sensibilité individuelle de la peau humaine, il vaut également la peine de tester ses produits, par exemple auprès de la famille et des amis, avant de les introduire sur le marché au sens large. Les opinions ainsi recueillies permettront non seulement de mieux évaluer leur efficacité et leur profil de sécurité, mais fourniront également des informations sur les opportunités potentielles de leur amélioration.

Marketing, boutique en ligne et contact client

De nos jours, vendre ses propres produits n’est pas seulement une question d’identification visuelle et d’emballage des cosmétiques, mais aussi de maintenir un intérêt constant. En plus de son propre site Web, il faut également penser à rester actif sur les réseaux sociaux et à engager des clients réguliers et potentiellement nouveaux.

Ne te limite pas aux seules publicités ! Tu peux souvent gagner beaucoup plus en développant une relation appropriée avec les clients – en répondant aux commentaires, en résolvant rapidement les problèmes signalés, en atténuant de manière réfléchie les situations difficiles (la livraison dans la boutique en ligne a du retard ? Offre une remise ou un cadeau lors de la prochaine commande).

Les promotions, les concours et l’offre d’échantillons gratuits (par exemple l’abonnement à la newsletter) peuvent également être un bon moyen de lancer sa nouvelle, propre marque.

Littérature:

1. https://www.oxide.pl/jak-stworzyc-wlasna-marke-kosmetykow/
2. https://www.salvena.pl/blog,jak-stworzyc-wlasna-marke-kosmetykow-podpowiadamy-na-podstawie-naszego-doswiadczenia,45.html

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L’objectif principal du projet est de renforcer la position de NATURAL POLAND dans le monde, ce qui sera réalisé grâce à l’intensification des activités de promotion. Grâce à ces initiatives, l’entreprise espère non seulement gagner de nouveaux partenaires commerciaux et clients pour ses produits, mais aussi renforcer sa présence sur les marchés internationaux. L’expansion outre-mer vise également à accroître les ventes et à ouvrir de nouvelles voies de distribution. La réalisation de ces objectifs contribuera à promouvoir l’industrie polonaise des spécialités alimentaires et à renforcer l’image de l’économie polonaise.

Le budget total du projet est de 332 600,00 PLN, dont 249 450,00 PLN de contribution des Fonds européens.

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Les acides phénoliques – qu’est-ce que c’est ?

Les acides phénoliques, également appelés acides-phénol, sont des dérivés du phénol ayant dans leur structure un groupe hydroxyle et un groupe carboxyle. Avec les flavonoïdes, ils constituent le deuxième groupe le plus important de substances biologiquement actives naturelles présentes dans les plantes. Ils présentent une grande diversité structurelle et peuvent être aussi bien des composés simples que de grandes molécules complexes.

Les acides phénoliques les plus couramment utilisés sont les dérivés de l’acide hydroxybenzoïque (y compris l’acide gallique, protocatéchique, vanillique, siringique) et les dérivés de l’acide hydroxycinnamonique (y compris l’acide caféique, ferulique, coumarique, romarin). Dans les matières premières végétales, ils se présentent principalement sous forme de combinaisons – de glycosides et d’esters.

Exemples de directions d’action des acides phénoliques

En raison de la présence de nombreux groupes hydroxyles, les acides phénoliques sont principalement associés à des effets antioxydants – ils ont la capacité d’éliminer/piéger les radicaux libres et des formes réactives de l’oxygène et de moduler l’expression des enzymes antioxydantes. Mais ce ne sont pas les seuls bienfaits des acides-phénol. Ils peuvent également avoir, entre autres, les actions suivantes :

• Cholagogues et cholérétiques (acides : caféique, férulique, chlorogénique, syringique, 3,4-diméthoxycinnamique)
• Antibactériennes (acides : caféique, vanillique, p-coumarique, p-hydroxybenzoïque)
• Antiseptiques, astringentes et anti-transpirantes (acide gallique)
• Hémostatiques (acide ellagique)

Des études scientifiques montrent également le potentiel de certains extraits de plantes riches en complexes d’acides phénoliques dans la prévention de l’athérosclérose, du diabète, des lésions hépatiques et de certains cancers. Grâce à leur action multidirectionnelle, ces composés constituent les principales substances actives de certains extraits végétaux utilisés dans l’industrie pharmaceutique et la médecine naturelle.

L’importance des acides phénoliques dans l’industrie cosmétique et dans la nutrition

Les acides phénoliques sont également utilisés dans l’industrie cosmétique. En raison de leurs puissantes propriétés antioxydantes, ainsi que de leurs propriétés photoprotectrices, antibactériennes et anti-inflammatoires, ils peuvent être utilisés dans les produits cosmétiques antiacnéiques, anti-âge et éliminant les décolorations de la peau. En plus, certains acides phénoliques (par exemple les parabènes qui suscitent controverse – les esters de l’acide 4-hydroxybenzoïque) sont utilisés comme agents de conservation.

Les propriétés bénéfiques des acides phénoliques pour la santé et leur large utilisation dans les produits alimentaires (épices, céréales, légumes, fruits, thés) sont également appréciées par l’industrie alimentaire. . C’est d’abord à eux que l’on doit les propriétés digestives de nombreuses épices. Les acides phénoliques et leurs dérivés sont utilisés comme ingrédients enrichissants, comme précurseurs de substances qui donnent du goût ou améliorent le goût et l’odeur et comme composés biologiquement actifs qui améliorent la qualité et la valeur des aliments.

Littérature:

1. Frątczak A, Bylka W i Studzińska-Sroka E: Fenolokwasy – budowa, działanie biologiczne i znaczenie w kosmetologii. Polish Journal of Cosmetology 2015; 18(4): 270-274.
2. Gawlik-Dziki U: Fenolokwasy jako bioaktywne składniki żywności. Żywność. Nauka. Technologia. Jakość (2004); 4(41): 29 – 40.
3. Parus A: Przeciwutleniające i farmakologiczne właściwości kwasów fenolowych. Postępy Fitoterapii 2013; 1: 48-53.

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Qu’est-ce que le chitosan ?

Le chitosan est un polyaminosaccharide linéaire obtenu par désacétylation partielle de la chitine. Il est composé d’une partie désacétylée (β-(1,4)-d-glucosamine) et d’une partie acétylée (N-acétyl-d-glucosamine). Le chitosan est obtenu à partir du squelette externe dur des crustacés tels que les crabes, les homards et les crevettes.

Chitosan

Le chitosane est un dérivé de la chitine. Il a de nombreuses applications en médecine, car il est parfait pour inhiber les hémorragies et panser les plaies.

Le chitosan est également un complément alimentaire bien connu qui aide à se débarrasser des kilos inutiles. C’est un composé organique qui appartient au groupe des polysaccharides. Il n’est pas digéré par le système digestif humain.

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Il est important de savoir que le chitosan n’est pas seulement naturel, mais aussi biocompatible, biodégradable et non toxique, tout en étant relativement facile à traiter, avec la possibilité de créer diverses formes modifiables par voie chimique et enzymatique. Il peut être utilisé aussi bien en médecine comme biomatériau sous forme de points de suture, de peaux artificielles et de pansements pour le traitement des plaies. En outre, il présent la propriété de se lier au cholestérol, aux graisses, aux protéines et aux ions métalliques. Il peut également être administré par voie orale.

Chitosane végétal

Le chitosan végétal est une substance dérivée de la chitine, un élément structurel des parois cellulaires des champignons (champignons, aspergillus niger). Il est non toxique, peu allergène et biodégradable.

Le chitosan végétal peut être utilisé par les végétaliens et les végétariens, ainsi que par les personnes allergiques aux crustacés.

Chitosan – application en médecine

Grâce à sa biocompatibilité, à sa biodégradabilité et à sa non-toxicité, le chitosan présente des propriétés antihémorragiques, antimicrobiennes et favorise la cicatrisation des plaies. Il peut être utilisé dans les pansements destinés à :

• l’inhibition des saignements,
• le traitement des plaies traumatiques,
• le traitement des escarres et des ulcères chroniques.

Les produits à base de chitosan sont sous la forme de poudre, de non-tissé, d’éponge ou de gel et peuvent être utilisés à la fois comme pansements et comme peaux artificielles. Le chitosan doit son utilisation thérapeutique principalement à la nature cationique du composé et à son caractère hydrophile. Il démontre une certaine capacité de stimulation des macrophages et des neutrophiles qui détruisent les agents pathogènes dans notre organisme et stimule en outre l’activité cellulaire (notamment celle des fibroblastes responsables de la production de collagène et d’élastine), la production de cytokines et favorise l’angiogenèse. Le chitosan favorise ainsi la cicatrisation des plaies, stimule la formation de tissus de granulation et réduit la formation de cicatrices.

Chitosan pour perdre du poids

Cependant, le chitosan n’est pas seulement un pansement, mais aussi une substance pouvant être administrée par voie orale. Grâce à ses propriétés d’absorption dans le tractus gastro-intestinal, il réduit l’absorption des graisses alimentaires. Sur la base de ce mécanisme d’action, on observe que le chitosan permet améliorer l’IMC, le profil lipidique et la santé cardiovasculaire. D’après plusieurs études réalisées sur les animaux, le chitosan présente un effet antidiabétique possible, notamment une diminution de la glycémie a été observée chez le rat diabétique ainsi qu’un effet de réduction de la résistance des tissus à l’insuline. Les compléments alimentaires à base de chitosan favorisent la perte de poids et préviennent les maladies dite « de civilisation », telles que l’obésité, l’hypertension et le diabète.

Littérature:

1. https://materialyinzynierskie.pl/chitozan/
2. Mazurek P, Kuliński S, Gosk J. Możliwości wykorzystania chityny i chitozanu w leczeniu ran. Polim. Med. 2013, 43(4), 297–302.
3. Jonczyk P, Kandefer B, Potempa M i wsp. Chitosan a gospodarka węglowodanowo-lipidowa. Forum Zaburzeń Metabolicznych 2016, 7(1), 31-34.
4. Cheung RCF, Ng TB, Wong JH, Chan WY. Chitosan: An Update on Potential Biomedical and Pharmaceutical Applications. Mar. Drugs 2015, 13(8), 5156-5186.

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Qu’est-ce qui doit apparaitre obligatoirement sur l’étiquette d’un produit cosmétique ?

Quelle que soit la forme de l’étiquette, elle doit toujours respecter les règles définis dans le règlement n° 1223/2009/CE du Parlement européen et du Conseil du 30 novembre 2009 relatif aux produits cosmétiques. Voici les mentions obligatoires qui doivent figurer sur l’étiquette :

• le nom commercial / la dénomination de l’entreprise ou l’adresse du responsable dont la forme abrégée est autorisée à condition qu’elle permette d’identifier le fabricant ou le distributeur
• le pays d’origine dans le cas de produits importés en dehors de l’UE
• le poids ou le volume du produit : la quantité nette (sans emballage) du produit cosmétique en unités de masse ou de volume, à l’exception :
  • des emballages contenant moins de 5 grammes ou 5 millilitres,
  • des échantillons gratuits et des emballages jetables,
  • des emballages groupés à condition que les informations figurent sur les emballages individuels.
• la date de durabilité minimale notamment dans le cas de produits cosmétiques dont la date de durabilité minimale est supérieure à 30 mois, ainsi que la date limite de conservation après l’ouverture de l’emballage,
• les prescriptions concernant l’utilisation : les indications telles que l’inflammabilité, les éventuelles irritations etc.,
• le N° du lot et tout autre information permettant l’identification du produit cosmétique,
• l’utilisation du produit cosmétique lorsque celle-ci ne ressort pas du nom commercial du produit,
• les ingrédients du produit cosmétique indiqués conformément à la Nomenclature internationale des ingrédients cosmétiques (INCI) et précédés du mot „ingrédients”.

Quels sont les règles relatives à la composition du produit cosmétique ?

La composition d’un produit cosmétique est un élément auquel de plus en plus de clients potentiels prêtent attention. Il convient donc d’accorder une attention particulière à la présentation de la liste des ingrédients.

Conformément à la règlementation en vigueur, les ingrédients doivent être présentés par ordre décroissant en fonction de leur poids. Ainsi, les ingrédients figurant en tête de la liste sont ceux dont les concentrations ou les volumes sont les plus importantes. Toutefois, cette règle ne s’applique qu’aux substances dont la concentration est supérieure à 1 % (les autres ingrédients peuvent être donc énumérées dans n’importe quel ordre).

Matières premières cosmétiques

Les matières premières naturelles pour cosmétiques ne sont pas seulement des additifs technologiques qui influencent la consistance, la structure et la durabilité du produit, mais aussi des substances végétales biologiquement actives qui améliorent les propriétés et ajoutent des valeurs esthétiques supplémentaires aux cosmétiques fabriqués. Nous offrons des matières premières pour cosmétiques de haute qualité dans les deux catégories, provenant uniquement de fabricants vérifiés et également disponibles en distribution de gros.

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Une approche tout aussi libre peut être adoptée en ce qui concerne les parfums des produits cosmétiques. Ils peuvent être indiqués sur l’étiquette par le terme « Parfum » ou « Arôme », sans qu’il soit nécessaire d’énumérer les ingrédients spécifiques. Bien que l’étiquette doive contenir les mentions requises par la loi, rien n’empêche d’intégrer les traductions des ingrédients en polonais en plus des ingrédients en version d’origine conformément à la nomenclature INCI.

Les informations supplémentaires sur l’étiquette du produit cosmétique

Outre les informations essentielles, il est possible de mentionner sur l’étiquette d’autres informations supplémentaires pour mettre en avant la qualité ou le caractère unique du produit ou encore pour cibler un groupe de consommateurs précis. Il est important de savoir que toutes les déclarations portant sur les propriétés du produit ou ses ingrédients doivent s’appuyer sur les études scientifiques. Si l’étiquette mentionne des propriétés hydratantes, une protection contre les UVB ou une action hypoallergénique, cela signifie que tous les tests ont été effectués à cet égard et que le produit est conforme à la réglementation.

Quelles sont les informations qui ne doivent pas figurer sur l’étiquette ?

Quelle mention est interdite sur l’étiquette d’un produit cosmétique ? Pour séduire le consommateur et différencier un produit de la concurrence, il ne faut pas essayer en faire trop. La liste des ingrédients ne doit pas p.ex. mentionner les ingrédients qui ne sont pas réellement présents dans le produit ou encore les ingrédients interdits par la loi.

En outre, la mention « non testé sur les animaux » est de moins en moins présente sur les étiquettes. En effet, depuis la mise en place de l’interdiction des expérimentations sur les animaux pour les produits cosmétiques et leurs ingrédients dans toute l’UE en 2013, les produits cosmétiques ne sont plus testés sur les animaux. L’utilisation de ce type de mentions peut donc avoir un impact négatif sur la perception de la marque car il pourrait suggérer au consommateur que les produits ne comportant pas la mention cruelty free ont été testés sur les animaux.

Bibliografia:

• https://www.kosmopedia.org/regulacje/oznakowanie-kosmetykow/
• https://kosmetyczni.pl/uploads/dokumenty/Kosmetyczni.pl_Dobre%20Praktyki%20Reklamy_przewodnik.pdf
• https://kosmetyczni.pl/uploads/dokumenty/Wprowadzanie_do_obrotu_2019.pdf

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